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 L’eau, une source sous-exploitée en Ariège?
Des ruisseaux qui dévalent la montagne, de grands barrages (Naguilhes, Soulcem, Laparan, Gnioure et Montbel), des lacs de montagne... la carte postale de l’Ariège montre une eau qui coule en abondance.

Et le département est souvent présenté comme le château d’eau de la Haute-Garonne, à l’heure où les déficits en eau dans le sud-ouest sont inquiétants.
Tout comme le constat plus global qui vient d’être fait lors du 6ème forum de l’eau à Marseille cette semaine: encore deux milliards d’êtres humains vivent sans accès à une eau salubre.
Avec l’accroissement de la population et le réchauffement climatique, les inondations et la sècheresse menacent les ressources.

Alors que faut-il faire en Ariège?

Le discours dominant consiste à dire que la ressource est sous-exploitée. Il faut stocker, faire des réserves, mieux la valoriser.
C’est par exemple l’avis de Jean-Louis Chauzy (président du Conseil économique social et environnemental régional), «notre drame, c’est l’incapacité à décider les réserves d’eau significatives que nous devons faire [...]
Les collectivités se disputent entre elles sur les réserves à faire ou à ne pas faire, on se préoccupe parfois davantage de l’avenir des écrevisses à pattes blanches que des hommes et de l’économie»
Mais cet avis est loin d’être partagé par tous...
Si à Marseille, un forum alternatif s’est réuni en parallèle au sommet officiel contre la «marchandisation de l’eau», la même tendance est représentée en Ariège.
Notamment par l’association le Chabot. Henri Delrieu réclame qu’au niveau départemental aussi, on sorte d’une vision «consumériste et marchande de l’eau»
Une ressource sous-exploitée? «On se moque un peu des gens car on est quand même un des départements les plus équipés de France!

On a à peu près 250 millions de m3 d’eau stockée dans le massif en haute-montagne et 65 millions stockée dans le piémont, avec des grands barrages comme Montbel.
Dire qu'elle est sous exploitée, c’est ne pas reconnaître que nos cours d’eau sont déjà dans un état fort délabré»
Equiper encore? «Le département a déjà de nombreuses installations» explique un membre de l’Onema en Ariège (office national de l’eau et des milieux aquatiques).
«Construire un nouveau barrage pose un certain nombre de problèmes techniques (noyer des espaces n’est pas anodin), et environnementaux.
Puisque naturellement, les cours d’eau ont des systèmes de crues et d’étiages. Quand on crée un grand barrage, on inverse complètement ce phénomène»

Il y a aussi la question financière: qui paye? pour quel budget?
Selon Henri Delrieu, «on a des milieux aquatiques en difficulté. La surexploitation des cours d’eau les amène à avoir des dysfonctionnements importants, qui peuvent être dangereux.
On a des cours d’eau qui ont des lits qui se referment, qui se pavent et qui n’ont pas la capacité d’absorber les grandes crues exceptionnelles»

Les écologistes évoquent aussi les milieux qui s’appauvrissent; ou encore des cours d’eau qui n’ont plus leur capacité d’autoépuration.

Michel Sébastien, ancien professeur à l’université de Toulouse-Le Mirail est passionné par ce sujet, sur lequel il donne régulièrement des conférences.
Son opinion est exactement l’inverse de celle évoquée précédemment.
Il faut selon lui stocker l’eau de manière urgente, «les chiffres sont simples: sur notre département il tombe 5 milliards de mètre cubes d’eau par an. On en met en réserve à peine 200 000 millions! C’est extrêmement faible.
Vu que nous nous asséchons, il faut multiplier les réserves. C’est l’avenir pour la biodiversité des rivières mais aussi pour l’irrigation, qui va devenir fondamentale et nécessaire»
Où faut il faire ces réserves? Pas en plaine, mais plutôt en montagne, «c’est là où l’eau tombe. En altitude, on détruit infiniment moins. Au-dessus de 1600 mètres, il n’y a pas de forêts»
C’est aussi une manière de développer encore l’hydroélectricité, une énergie renouvelable «au fur et à mesure que le prix du pétrole va augmenter, l’énergie de nos montagnes va devenir extrêmement rentable»

Stocker? Pas stocker? Quand certains recommandent de passer à l’action, d’autres pointent du doigt les conséquences environnementales... l’éternel débat en Ariège.

L’eau des Pyrénées n’a pas fini de faire débat.
auteur: Anne-Sophie Terral | publié le: 16/03/2012 | 19:49 ARIEGE-NEWS

 

L'eau, c'est l'or de l'Ariège »
l'Ariège dans 40 ans. La Dépêche du Midi 20/02/2012

L'eau c'est l'or de l'Ariège. Et son avenir. Voilà l'argument choc de Michel Sébastien, qui le développe dans une conférence où il plaide pour accroître les réserves, face à une sécheresse installée définitivement par une méditerranisation du climat ariégeois.
Sur le métier il faut remettre l'ouvrage ! Michel Sébastien qui aime les maximes, devrait méditer celle-ci. À travers une exceptionnelle conférence (présentée à Pamiers), le géographe-écologue et Pyrénéiste ariégeois se projette 40 ans plus tard, dans un champ de vision ariégeois tous azimuts : démographie, climat, économie. En résumé : dans quarante ans l'Ariège aura retrouvé 200 000 habitants (elle en comptait 276 000 en 1 846), son désenclavement n'aura peut-être pas abouti compte tenu des lenteurs avec lesquelles on s'en préoccupe, enfin son climat sera « méditerranéen » une évolution sous le ciel qui pose la question qui prime toutes : saura-t-on valoriser la richesse propre à l'Ariège, son eau.
« Il tombe cinq milliards de m3 d'eau en Ariège chaque année. Sur cette masse nous en mettons 200 millions en réserve dans les différents barrages et retenues. Et sur cette réserve 20 millions sont consacrés à l'irrigation ! Soit 0,4 % de ce qui tombe ! Comme quoi il faut faire la chasse aux idées fausses. » La première idée fausse et beaucoup répétée, selon Michel Sébastien, c'est que l'irrigation coûte beaucoup en eau. Et cette irrigation il plaide pour qu'on la développe sur la basse-Ariège, site d'une future « huerta » exceptionnelle, base d'un essor d'activité agroalimentaire dont on ne voit pas pourquoi on se priverait ! Mais pour satisfaire cet objectif, il faut, selon Michel Sébastien, accroître les réserves en eau, autant que possible à partir des barrages existants pour ne pas bouleverser outre mesure l'environnement. C'est urgent, et vital : « Nous sommes d'ores et déjà en situation de sécheresse, nous retrouvons le climat que nous avions au Moyen âge, lorsqu'il y avait des moulins à huile à Pamiers, les projections dans 40 ans donnent une chute considérable des débits du Salat à Saint-Girons (1), de l'Ariège à Foix ! Voilà pourquoi il faut faire des réserves ! » Une précaution pour conserver des débits à nos cours d'eau sur lesquels Michel Sébastien indique qu'il faut installer des centrales hydroélectriques pour produire et vendre de l'énergie : « l'Ariège est un grenier à eau, et pas un moulin à vent ! On a mieux à faire qu'à installer des éoliennes qui ne fonctionnent pas tout le temps, alors que les centrales hydroélectriques peuvent fonctionner en continu et à la demande ! Jules Vernes a dit que l'eau c'est le charbon de l'avenir, je partage entièrement cette observation ! »
Sera-t-il entendu. Incorrigible optimiste, il l'espère, même si au fond de lui-même il aimerait que les Ariégeois soient plus réactifs, face « à une civilisation monde qui change de rythme. Il y a urgence à s'en rendre compte ! »
Le chiffre : 200
millions de m3 > de réserves d'eau stockées en Ariège. C'est le niveau actuel conservé par les barrages et retenues collinaires. 20 millions sont consacrés à l'irrigation.
« Dans 50 ans la France va manquer d'eau et d'énergie, et nous Ariégeois, nous avons les deux ! Il faut donc stocker, relever les barrages existant et développer les centrales hydroélectriques ».


Michel Sébastien, « écologue »


1) une diminution annoncée d'environ un quart du débit actuel et peut-être plus

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son idée : « Réintroduire le bouquetin »
S'opposant à la philosophie de la régression, qui compte aujourd'hui beaucoup d'adeptes, Michel Sébastien plaide en faveur du « raisonnable, d'un aménagement humaniste et réaliste du territoire ». Anti-écolo ? Non, écologue se dit-il. Il plaide d'ailleurs pour la réintroduction d'espèces anciennes dans les Pyrénées : « le bouquetin qui ornait les parois de nos grottes, le bison d'Europe, et pourquoi pas les écrevisses à pattes blanches ! » Voilà qui aurait été peut-être plus consensuel que l'ours…
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ETANGS DE MONTAGNE AUTOUR D’AX LES THERMES

 

Voir aussi: www.lacsdespyrenees.com

 

ETANG D’APPY : carte IGN TOP25 -2148ET.

A l’altitude  de 1734 mètres (m) sur la commune d’Appy d’une surface de 3,8   hectares (h) il est peuplé

de truite fario. Compter 2 heures de montée pour un dénivelé de750 mètres. Partir de bonne heure car le chemin est toujours au soleil. Vieille cabane qui mériterait un gros lifting.

 

ETANG D’EMBIZON : carte IGN TPO25-2148ET

Sur la commune de Savignac à l’altitude de 2086m ,d’une superficie de 2 h   pour une profondeur maxi de15 mètres ,il est peuplé de fario et de saumon de fontaine. Départ du chemin aux granges de la vallée de Savignac, pour un dénivelé de1000 mètres et une durée de 3h30. Petite cabane de berger au bord de l’étang.

 

ETANG BLEU : carte IGN-TOP25-2249 O

Perché à 2132 md’altitude pour une superficie de 3,2 h ; se trouve peuplé de truite et saumon de fontaine. Le GR10 passe juste au-dessus ; ce qui permet de dormir et de se restaurer au Refuge du Rulhe :(05.61.65.65.01 et www.rulhe.com

 

 LE PETIT ESTAGNOL DE JOCLAR :Carte IGN-TOP25 : 2249OT

A 2122 md’altitude, près du refuge du Rulhe (( :05.61.65.65.01 ou www.rulhe.com ),petit étang de

0,5 hectareoù l’on trouve de la truite.

 

 ETANG  DE JOCLAR ou JOUCLA : carte IGN-TOP25 :2249OT

 

Au dessus de l’étang du petit estagnol à 2327m d’altitude, on y accède par le   refuge du Rulhe ou par le Pla de las Peyres en remontant le ruisseau de l’estagnol. Les truites  peuplent cet étang. 

 

ETANGS DE FONTARGENTE :carte IGN-TOP25 :2249OT

3 étangs à 2149 md’altitude que l’on atteint par le Pla de las Peyres en  1h30 et   550m de dénivelé.

D’une superficie supérieure à 20 hectares, on y trouve truite et  saumon de fontaine.

Refuge du Rulhe pas trop loin pour passer une bonne soirée.(05.61.65.65.01 ou www.rulhe.com

 

ETANG DU CONTE : carte IGN-TOP25-2249OT

C’est  l’étang dont l’accès est le plus facile ; au départ du parking du Mourgouilhou   avec un dénivelé

de 300m pour une durée de 1heure.Sa superficie est de3,4 hectarespour une profondeur de4 m.

L’étang est peuplé de belles truites fario locales endémiques. Cabane de la jasse du Mourgouilhou.

 

ETANG DU COUART : carte IGN-TOP25 :2249OT

2 possibilités pour accéder à cet étang : soit en remontant le vallon du    Mourgouilhou par Mérens ou par

le vallon d’Arques et l’étang du Pédoures à L’Hospitalet. Compter environ 3 heures de marche pour

arriver à son altitude à 2230m. Il est profond de30 mètrespour une superficie de9 hectares.

On y pêche truite fario, saumon de fontaine et omble chevalier.

 

ETANG DE L’ALBE :carte IGN-TOP25 : 2249OT

Juste au dessus de l’étang du Couart à 2355m d’altitude et du petit étang de l’Albe. Truite et saumon profitent de ses  7,7 hectares d’eau pour une profondeur de19 mètres.

 

 ETANG DE PEDOURES-carte IGN-TOP25 :2249OT

                        Se trouve à 2165m d’altitude, après 670m de dénivelé et 2h30 à partirde l’Hospitalet.D’une superficie

                       de5,5 hectarespour une profondeurde 10m , on y rencontre surtout la truite fario.

 

 ETANG DU SISCAR ou SISCA :carteIGN-TOP25 :2249OT

                           A 2189m d’altitude avec sa petite île au milieu, il occupe une superficie de4,5 hectares pour une   

                          profondeur de4 mètres.Peuplé de truite et vairon. Compter 2 heures de montée pour un dénivelé

                          de690 mdepuis L’Hospitalet. Possibilité de bivouaquer à la cabane de Vésine à 2100m.

 

 ETANG DES BESINES : carte IGN-TOP25 :2249OT

Facile d’accès :en 1h30 et 425 mde dénivelé on atteint cet étang d’une   superficie de 6,8 hectares pour une profondeur de 10m. Vous pourrez faire cuire vos truites dans les 2 cabanes qui l’entourent ou profiter de l’excellent accueil du Refuge des Bésines  (05.61.05.22.44 ou www.besines.free.fr

 

ETANGS DE MOULSUT : carte IGN-TOP25 :2249OT

                        2 petits étangs transparents reliés entre eux par un petit chenal empierré,

                        réservés à la pêche « no kill » juste au-dessus du refuge des Bésines.

 

 ETANG FAURY :carte IGN-TOP25 :2249OT

                        Caché à2312 m d’altitude dans un écrin de montagnes pour une superficie de 2

                        hectares, ne contient que de la truite fario. Possibilité d’accès par le refuge des

                        Bésines ou celui d’En Beys.

 

 ETANGS DES PEYRISSES : carte IGN-TOP25 :2249OT

                        2 lacs de même superficie (8h)à 2355 et 2227 d’altitude, très poissonneux

                        derrière la couillade d’EnBeys : truite et saumon de fontaine.6h de marche

                        depuis le Pont du Bisp sur Orlu pour un dénivelé de 1400m environ.

                        Possible camp de base au Refuge d’En Beys :(05.61.64.24.24 ou

                        www.refuge.enbeys.com . 30 étangs dans un rayon de 4 kms.

 

ETANG D’EN BEYS : carte IGN-TOP25 : 2249OT 

Situé sous le refuge d’En Beys à1954 md’altitude , pour une superficie de16 hectareson l’atteint

en 3h30 pour un dénivelé de 780m depuis le pont du Bisp.

 

ETANG DE BAXOUILLADE : carte IGN-TOP25 :2248ET-2249ET

                        2h35 de rando pur un dénivelé de 800m pour arriver au grand étang de

                        Baxouillade depuis le pont du Bisp.4,5 hectares peuplés de fario.

 

 

ETANG TORT et ETANG  DEROUN : carte IGN-TOP25 :2249OT

                        2 petits étangs d’accès difficile au dessus du lac de Naguille à 2133 et2216 m.

                        9 hectares à eux deux qui font le bonheur des farios et des saumons de fontaine.

 

 LAC DE NAGUILLE :carte IGN-TOP25 : 2249OT

Le plus grand étang de la vallée par sa superficie :81 hectares pour une profondeur de 71   m.

Peuplé de truite , omble chevalier et cristivomer. 3h de montée depuis les Forges d’Orlu 

pour un dénivelé de 960m

 

 LAC D’AYGUE LONGUE. Carte IGN-TOP25 :2249OT

                       Très beau lac d’altitude à 2070m pour uns superficie de 4,5 h et de13 m de

                        profondeur. La fario est ici dans son élément.2 h de rando depuis le parking

                       au fond de la vallée d’Orgeix pour 670m de dénivelé

                       

 ETANGS AUTOUR D’EN BEYS :carte IGN-TOP25 :2249OT

                         Autour du refuge d’En Beys se trouvent de nombreux  petits étangs dont

la superficie varie de 0,3 à 1,9 hectares : Coume Agnel Haut et Bas, Grava Haut et Bas,

Portella d’Orlu, Llauses, Llerbes , Gourg Gaudet…peuplés de fario et saumon.          

 

ETANGS DE MADIDES carteIGN-TOP25 :2249OT

                        4 étangs  dont le principal à 2174m dans la vallée du Nabre au dessus de

                        Mérens les Vals.3h30 de montée pour un dénivelé de 1000m.

                        Fario et saumon de fontaine.

  

ETANGS DES RABASSOLES carte IGN-TOP25 :2248ET

                        3 étangs qui se succèdent de 1970m à 1851m en venant du col de Pailhères :

                        Etang Noir, Etang Bleu et Etang des Rabassoles pour une superficie de 14h.

                        On trouve vairon, fario et saumon de fontaine. Belle balade de 1h30 environ

                        depuis le col de Pailhères

 

 ETANG DE LAURENTI : carte IGN-TOP25 :2248ET

                        Très bel étang à 1936m, d’accès très facile :1h30 de marche pour320 m

                        de dénivelé depuis la cabane forestière du Laurenti .Nombreuses

                        variétés de poissons : omble chevalier, fario, saumon de fontaine.

 

 ETANGS DU DONEZAN : carte IGN-TOP 25 : 2248ET

                        Le « Québec Ariègeois » fourmille d’étangs nichés dans une

                        montagne couverte de forêts : étang de Balbonne, étang de Quérigut,

                        l’Estagnet, barrage de Noubals .etc…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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